samedi 1 avril 2017

Jugé pour une relation sexuelle avec une poule




C’est une histoire un peu particulière. Les faits remontent à août 2016 et se sont déroulés à Saint-Etienne du Rouvray (Seine-Maritime). Selon le site Normandie actu, une mère de famille aurait surpris son mari en plein acte sexuel… avec une poule. L’affaire a été jugée au tribunal correctionnel de Rouen, ce mardi.

Le couple s’est séparé depuis

A la suite d’une confidence de sa plus jeune fille, qui lui a avoué avoir vu son père dans une position compromettante avec une poule, la mère de famille met en place une surveillance pour prendre son conjoint en flagrant délit.
Une installation qui s’avère fructueuse puisqu’elle surprend son mari, dans le garage, pantalon baissé en plein acte sexuel avec une de leurs poules. Une plainte est alors déposée contre l’homme, et les animaux - sept poules et une chèvre - sont saisis et confiés à une association.

Une interdiction définitive de détenir des animaux

Lors de l’audience de ce mardi, ni la femme ni l’homme ne se sont présentés. « Ma cliente est évidemment remplie de honte, indique l’avocat de la compagne. Le couple s’est d’ailleurs séparé depuis ».
L’avocat de la mère de famille a demandé le versement de 1.000 euros pour dommages et intérêts. Quant à son ancien compagnon, la procureur de la République a demandé trois mois d’emprisonnement ferme « pour que le prévenu comprenne la gravité des faits », ainsi qu’une interdiction définitive de détenir des animaux. L’accusé a finalement été condamné à trois mois de prison avec sursis, assortie d’une interdiction de détenir un animal.

Nouvelle mode: Boire et fumer pour avoir un enfant handicapé et toucher les allocs.

De plus en plus de cas sont répertoriés dans les maternités belges.
Selon l’observatoire de la natalité, le handicap infantile causé par les drogues et l’alcool ont explosé de 35% depuis 2 ans.

A l’origine de ce fléau, une nouvelle mode lancée il y a 2 ans à Charleroi:

Afin de pouvoir obtenir des allocations de handicap (et la précieuse carte bleue qui permet de se garer sur des places privilégiées), certaines mères boivent et fument anormalement exprès pour que leur enfant soit atteint d’handicap physique ou mental.

Il est évidemment plutôt agréable d’avoir un petit handicap mental qu’un lourd handicap physique.
Le nombre de bébés retrouvés dans les congélateurs a également augmenté de 24% ces 3 dernières années mais le phénomène ne serait pas lié.

Sénégal : amoureuse de son présumé violeur, une adolescente le défend à la barre

Un fait peu ordinaire s’est produit au tribunal de grande instance de Diourbel, une ville du Sénégal, située à environ 150 kilomètres à l’est de Dakar.
En effet, un individu nommé Bassirou Niang comparaissait vendredi devant le juge pour répondre des faits de détournement de mineure et viol sur mineure de moins de 16 ans. La victime répondant aux initiales D.D s’est plutôt muée en avocat-défenseur de l’accusé. La jeune fille a tout simplement confirmé les propos de Bassirou Niang soutenant qu’il ignorait l’âge de l’adolescente. Interrogé par le juge, l’inculpé n’a pas mis de difficulté à reconnaître avoir eu des rapports sex*uels avec D.D. Mais, celui-ci a tenu à préciser qu’il a toujours nourri de bonnes intentions envers la demoiselle. Bassirou Niang est allé plus loin en révélant son désir de vouloir épouser celle qu’il présente comme sa petite amie. L’homme a même pris à témoin le père de D.D. 

Toujours animée par le désir de voir Bassirou Niang respirer l’air frais de la liberté, l’ado a confirmé les dires de ce dernier. Mieux, elle a révélé qu’elle n’a nullement été forcée à coucher avec le mis en cause. Bien au contraire, D.D. a déclaré qu’elle s’était rendue de son plein gré au domicile de Bassirou Niang, avec le doux rêve de se livrer à son amoureux. Le juge et l’assistance n’avaient pas encore accusé le coup quand elle a indiqué que Bassirou Niang est l’auteur de la grossesse qu’elle porte. De cette idylle entre le supposé violeur et la victime naîtra donc un enfant dans les prochains mois. 
Le meilleur était à venir. Aux yeux et au su de toute l’assemblée, en présence de son père, D.D. a reconnu qu’elle était amoureuse de l’homme qui se tenait à la barre. Tout ceci a conduit le procureur Baye Thiam à demander à la Cour de reconsidérer le délit de viol sur mineure de moins de 16 ans. Toutefois, il a requis deux ans d’emprisonnement pour pédophilie et détournement de mineure. 
Le verdict sera connu le jeudi prochain. 
Afrikmag

samedi 4 février 2017

Les chiens consomme de la marijuana, de plus en plus

Ils ne supportent pas le THC et pourtant, de plus en plus de vétérinaires observent une croissance des cas d'intoxication.
Contrairement aux chats, les chiens ne supportent pas le cannabis. C'est un article -très sérieux- du New York Times qui l'affirme, à grand renfort d'exemples en tout genre. Il faut dire que l'idée est plutôt absurde. Pourtant, les cas de canidés sous weed ne cessent de croître.
D'après le centre anti-poison de l'ASCPA, le nombre d'animaux ayant consommé de la marijuana a augmenté de 144%, de 2010 à 2015, tandis que l'Animal Medical Center annonce qu'il traite plusieurs cas par semaine. Les accidents ne sont pas rares, puisque d'après le Dr Levitzke, «les chiens mettent n'importe quoi dans leur bouche». Ce alors, ajoute-t-il, que «vous ne verrez jamais un chat le faire, parce qu'ils sont plus intelligents». Les amateurs de félin apprécieront.
En tous les cas, les maîtres qui retrouvent leur animal dans un état bizarre en rentrant du travail ou se levant ne se font pas rares. Un matin, Betsy Gotbaum, ancienne avocate new-yorkaise, tombe face-à-face avec son caniche:
«Il ne mangeait pas, ne buvait pas, sa tête oscillait d'avant en arrière. [...] Nous avions peur que ce soit quelque chose de neurologique.»
Les tests du vétérinaire concluront plus tard que le chien a en des résidus marijuana sur ses pattes. Une autre fois, une vétérinaire revient chez elle et trouve son cairn terrier, Bella, allongé dans son urine, tremblant et effrayé. Pas besoin de chercher très loin pour essayer de savoir ce qui s'est passé: l'emballage d'un chocolat blanc à la weed, acheté un peu plus tôt, se trouve juste à coté de l'animal.
Maîtres rigolards... ou honteux
Fort heureusement, les effets ne durent pas indéfiniment. L'intoxication à la marijuana se traite ainsi assez facilement, grâce à une série de traitements décrits à cette adresse. Les médecins ne savent en revanche pas ce qui (...) Lire la suite sur Slate.fr

Boycott des produits de marque Ivanka Trump

Les magasins Nordstrom ont décidé de retirer de leurs rayons la marque de prêt-à-porter et d’accessoires d’Ivanka Trump, à cause des mauvais chiffres de vente. Une première victoire pour ceux qui boycottent les produits liés à la famille Trump.
Une décision commerciale aux faux airs de choix politiques. Jeudi, la chaîne de magasins Nordstrom a annoncé qu’elle n’allait pas vendre la nouvelle collection de prêt-à-porter et d’accessoires d’Ivanka Trump, la fille du nouveau président. Cela a été salué par Shannon Coulter, qui a lancé en novembre dernier le mot d’ordre #GrabYourWallet, qui appelle au boycott des produits de la famille Trump. «Nous sommes absolument ravis, c’est une grande victoire», a-t-elle déclaré à Paris Match. «Le boycott dure depuis maintenant 116 jours, et Nordstrom était le magasin dont le boycott était le plus discuté, car c’est la marque avec laquelle les gens ont le lien le plus fort. C’est aussi celle où les participants voulaient racheter le plus. Le fait qu’ils abandonnent les produits d’Ivanka Trump, cela a beaucoup d’importance pour nous.»

Pour cette directrice du marketing d’une petite marque de la région de San Francisco, le décret interdisant l’entrée aux Etats-Unis aux ressortissants de sept pays musulmans a probablement été «la décision de trop» : «Les gens utilisent le boycott pour protester contre le "muslim ban"», en plus des manifestations massives. Le fait qu’Ivanka Trump, au rôle non officiel et pourtant déterminant, ait posté une photo d’elle en robe du soir pendant que des milliers d’Américains protestaient a été à ses yeux importants : «C’était le moment Marie-Antoinette d’Ivanka», nous assure-t-elle.